
De ce qui est important
De ce qui est important « Qu’est-ce qui est important pour moi, dans ma vie ? » Voici un petit extrait d’une conversation avec une de mes clientes qui
Je m’appelle Audrey Lamourelle-Carrico. J’ai commencé à monter à l’âge de 5 ans et je ne suis jamais descendue.
J’ai toujours aimé la compétition, et, comme beaucoup, j’ai tout naturellement commencé par le CSO avec mon premier cheval.
Le stress, la pression, la peur aussi peut-être étaient, à l’époque, de plus en plus présents à chaque entrée en piste mais, comme il n’était pas question d’arrêter, je me suis réorientée vers une discipline que j’adore aujourd’hui, le dressage.
J’ai alors intégré une écurie spécialisée « dressage classique et artistique » en Bretagne et j’ai découvert un univers fascinant, fait des rencontres décisives dans ma vie de cavalière et vécu de magnifiques victoires.
Ici, mon plus beau souvenir restera notre titre de Championne de France avec ma jument frisonne. Ce fut une aventure extraordinaire d’amener cette jument jusqu’aux podiums, dans l’amour et le respect.
Côté professionnel, après avoir passé 15 ans dans de grands groupes de distribution à des postes de cadre, ce fut le moment de changer de vie tout en conservant ce qui me passionnait : le fonctionnement humain, le fonctionnement de l’esprit.
Je me suis formée au coaching, et obtenu une certification (RNCP II), en psychologie, en Programmation Neuro-Linguistique et Mindfulness. Et plus je me formais, plus je faisais le lien. Ah si j’avais eu toutes ces clés au moment où je sautais, si j’avais eu tous ces outils et cette connaissance plus tôt !!! Cela aurait sûrement changé beaucoup de choses. Et cela a changé beaucoup de choses.
De ce qui est important « Qu’est-ce qui est important pour moi, dans ma vie ? » Voici un petit extrait d’une conversation avec une de mes clientes qui
Souriez, vous êtes stressés Savez-vous que sourire peut vous aider à diminuer votre niveau de stress ? On distingue 2 types de sourires : celui
OH non !!! On me regarde !!! Beaucoup de cavaliers me parlent du « regard de l’autre », ou plutôt de la crainte du regard de l’autre.